- À l’heure où Vladimir Poutine peine à réaliser ses plans en Ukraine, le maréchal Haftar, l’un des principaux belligérants dans le conflit libyen, pourrait fournir des renforts à l’armée russe. Une initiative qui menace d’internationaliser le conflit.
- Le chercheur britannique Mark Galeotti, spécialiste de la politique et des questions de sécurité en Russie, expose les scénarios qu’il juge les plus plausibles. Si l’incertitude règne, une chose est sûre : le retour au statu quo est impossible.
- Le Maroc représente pour l’Espagne un partenaire clé dans la gestion de l’immigration clandestine sur son territoire. Un des principaux facteurs qui expliquent l’alignement de Madrid sur la position marocaine vis-à-vis du Sahara occidental, selon la presse espagnole.
- Par décision de justice, les deux plateformes du groupe Meta sont désormais interdites en Russie. Pour le quotidien Kommersant, il va être de plus en plus risqué d’utiliser les réseaux sociaux américains dans le pays.
- La quantité produite et exportée par le pays a augmenté de 566 % en un an, rapporte le Jornal de Notícias. Et tout indique que ce record sera largement battu cette année.
- Berlin a confirmé que de nouvelles livraisons d’armes auraient bien lieu, pour soutenir les Ukrainiens contre l’invasion russe de leur pays. Pour la presse d’outre-Rhin, cette annonce confirme la volonté de l’Allemagne de s’engager sur le plan militaire, à l’international.
- Lundi 21 mars ont eu lieu deux manifestations distinctes pour demander la rupture des relations économiques avec la Russie, considérées comme une source de financement de la guerre en Ukraine.
- Dimanche 20 mars aux petites heures, une voiture a foncé dans la foule d’un carnaval à Strépy-Bracquegnies, en Wallonie, faisant 6 morts. Le conducteur a été inculpé d’homicide involontaire.
- La Russie, qui accuse le Japon d’avoir mis en place des mesures “antirusses” contre l’invasion de l’Ukraine, a interrompu le 21 mars les pourparlers visant à régler le sort des Îles Kouriles, resté en suspens à l’issue de la Seconde Guerre mondiale.
- Isolé et pilonné par l’armée russe, le port du sud-est de l’Ukraine n’est plus qu’un champ de ruines, où les survivants tuent des chiens errants pour se nourrir et boivent l’eau qu’ils drainent des radiateurs, selon les récits de ceux qui ont pu fuir, recueillis par le Financial Times.